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En prélude au sommet de Cancún sur le climat, un an après le fiasco de Copenhague, plus de cent maires de grandes villes du monde se sont engagés à inscrire leurs actions de réduction de CO2 dans un « registre climat des villes carbone ». Une façon de mieux se faire entendre face aux Etats, mais aussi de mieux profiter des futurs financements.
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