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Après « Hors la loi », « Draquila – l'Italia che trema ». Avant même l'ouverture du Festival de Cannes, un deuxième film sélectionné suscite des appels à la censure. Le ministre italien de la Culture a décidé de boycotter la grand-messe du cinéma, accusant la polémiste Sabina Guzzanti d'avoir réalisé un « film de propagande ». La réalisatrice n'en demandait pas tant. Le Festival non plus.
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