124
Faire le beau au prix du laid. C’était le pari de Denise Fayolle lorsqu’elle a fait venir Andrée Putman chez Prisunic en 1958. La styliste décédée samedi a révolutionné « le bon goût » qu’elle disait détester.
La suite de cet article est réservée à nos abonné·es.
➤ Pour soutenir le travail de la rédaction et permettre à ce journal d'exister
➤ Pour accéder à l'ensemble de nos articles (plus de 7500), archives et dossiers
Informez-vous, engagez-vous, ABONNEZ-VOUS !
♦ Déjà abonné.e ? Connectez-vous ♦
