Ce n'est pas une étude sur le cuir chevelu, mais sur l'occupation du territoire français entre espaces naturels et « artificialisés ».
Selon cette étude Agreste Primeur, publiée mercredi 21 juillet, ces sols artificialisés (surfaces bâties, routes, chantiers, espaces verts artificiels...) « accélèrent leur progression ». Ils gagnent l'équivalent de la surface d'un département (soit 610 000 hectares) tous les 7 ans pour, en 2009, occuper 8,8 % du territoire, contre 8,4 % en 2006.
La forêt, qui gagnait du terrain depuis 1992, ne progresse plus depuis 2006 et « plafonne autour de 15,1 millions d'hectares », soit environ 28 % du territoire.
En 2009, l'agriculture occupe, de loin, la part la plus importante des sols français. Elle s’étend sur 54 % du territoire métropolitain, la sylviculture sur 24 %. L’habitat, les sports et les loisirs en utilisent 6 % alors que l’industrie et les services ne dépassent pas 2% et les transports 3 %.
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