167
40 000 prostituées supplémentaires en Afrique du Sud à l'occasion de la Coupe du monde de football ? Ce nombre, répété à l'envi, est fantaisiste. Le phénomène n'en est pas moins réel. L'événement sportif, qui drainera son lot de supporters et d'argent, amplifiera un trafic, déjà existant, de femmes et d'enfants à des fins de travail ou de prostitution. Un problème d'autant plus critique que le Sida ravage le pays, et y reste souvent tabou.
La suite de cet article est réservée à nos abonné·es.