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Schéma classique jusqu’ici : une personne accusée de harcèlement sexuel bénéficie d’un non-lieu faute de preuve. Et celle qui l’accuse est condamnée pour « dénonciation calomnieuse ». Mais la Cour européenne des droits de l'Homme vient de condamner la France pour violation du principe de présomption d’innocence et du droit à un procès équitable.
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